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lundi 5 février 2018

Tes velours



Souviens toi, près de la plage,
Au fil de nos pages
Écrit sur le sable fin,
Mon cœur de toi avait si faim...

Mon regard dans tes yeux,
J'avais gravit les sept cieux,
Au contact de tes lèvres,
Mon désire savourait ce baiser,

De délices suaves de braisière...
Même ange ! comment résister ?
À ta sensualité lascive,
Qui fessait de ma passion une captive,

Enchaînée à jamais à ton âme ...
Me voilà que je me consume,
De ces braises qui m'enflamme,
À tes souvenirs, mon esprit te hume,

Une colombe me salut dans mes altitudes,
Telle une invocation, une prière de finitude,
Je souris aux anges, heureux dans ma solitude,
De voir ton sourire égayer mon cœur timide.

Grâce à la pluie parfumée de l'amour,
Quand bien même tu es absente,
Dans mon jardin riche en absinthe,
Ma rose à ton nom honore tes velours.

R.A

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Splendide

Anonyme a dit…

C'est magnifiquement magnifique! Il me semble que tu t'inspires de ce que "tu ressens, ce que tu vies, ce que tu vois..."
C'est beau comment tu décris ce que "tu ressens, vie et vois"

--This is her (Z-V)

Anonyme a dit…

Je suis d'accord avec ce que ZV dit! C'est vraiment magnifique

Jahane a dit…

Magnifique poème ...
Malgré l’absence ne garder dans votre cœur de cette rose que son parfum enivrant et lui pardonner ces épines ...