Crise de confiance, panique à l’échelle international sur les places boursiers… le monde est entrain de vivre les limites et les méfaits du capitalisme à outrance après avoir gouté et vécu pour certain l’impasse du modèle communiste tombé en désuétude. Alors quelle alternative avons-nous réellement en dehors de ces deux modèles économiques ? Ne serait il pas temps de revenir aux fondamentaux des lois économiques ? Mettre la finalité de l’homme au centre de tous les intérêts plutôt que l’argent et le profit sans effort. Aujourd’hui la bulle artificielle insufflé et gonflé par le système capitaliste nous mets devant une réalité qui depuis longtemps a été dénoncé et interdit par le modèle économique Islamique.
Qu’elles sont les critères importants du modèle islamique ? 1er pas de « riba » (intérêt, usure) 2ème pas de « gharar » ni de « maysir » (incertitude, spéculation) 3ème pas de « haram » (secteur illicite comme le jeu, l’alcool, la pornographie, le tabac…), 4ème obligation de partage des profits et des pertes et 5ème l’éthique c'est-à-dire allouer les fonds vers des secteurs socialement responsables. Ces principes simples et naturels sont des garanties qui empêche des crises de type subprime … l’intérêt avec usure étant formellement interdit en Islam nulle doute que cette crise ne peut déstabiliser un système qui refuse de faire travailler l’argent pour l’argent.
Certain pense que le modèle économique respectant les lois de la Charia Islamique ne peut être mise en pratique car ils sont convaincus que les progrès et la folie matérialiste dans lequel ont vie ne peut admettre des principes qui date de plus de 14 siècles. Allah nous impose les taux d’intérêt à Zéro dans tous les échanges financiers pour inciter au partenariat et au partage des risques et des bénéfices. Pour preuve regardé le reflexe immédiat des gestionnaires de la banque centrale européenne et américaine dans cette crise comme dans celle du passé, ils baissent leurs taux d’intérêt. Baisser…, tendre vers le plus prés de zéro pour relancer l’économie, donner plus de confiance à l’épargnant et au marché boursier et faire en sorte que l’on puisse favoriser les crédits auprès des Banques.
Pour les Musulmans, convaincus et respectueux des principes Islamiques, aucun doute sur les biens faits de l’interdiction de l’intérêt usuraire car si Allah (swt) nous la rendu illicite c’est qu’Il connait mieux que qui conque l’intérêt suprême de ses créatures. Combien de crise similaire doit-on subir pour que l’on se rende compte de l’évidence qu’Allah nous a annoncée à mainte reprise dans le Coran. A quoi nous invite le modèle Islamique si ce n’est que mettre l’argent au service de l’homme et non pas l’homme au service de l’argent. La régulation et le cadre de fonctionnement du modèle Islamique permet à chacun de travailler dans un esprit d’entreprenariat en partageant les bénéfices et les risques. Cette disposition permet une prudence mesurée et intelligente qui évite l’effet boule de neige en cas de crise et de dérapage économique.
Qu’elles sont les critères importants du modèle islamique ? 1er pas de « riba » (intérêt, usure) 2ème pas de « gharar » ni de « maysir » (incertitude, spéculation) 3ème pas de « haram » (secteur illicite comme le jeu, l’alcool, la pornographie, le tabac…), 4ème obligation de partage des profits et des pertes et 5ème l’éthique c'est-à-dire allouer les fonds vers des secteurs socialement responsables. Ces principes simples et naturels sont des garanties qui empêche des crises de type subprime … l’intérêt avec usure étant formellement interdit en Islam nulle doute que cette crise ne peut déstabiliser un système qui refuse de faire travailler l’argent pour l’argent.
Certain pense que le modèle économique respectant les lois de la Charia Islamique ne peut être mise en pratique car ils sont convaincus que les progrès et la folie matérialiste dans lequel ont vie ne peut admettre des principes qui date de plus de 14 siècles. Allah nous impose les taux d’intérêt à Zéro dans tous les échanges financiers pour inciter au partenariat et au partage des risques et des bénéfices. Pour preuve regardé le reflexe immédiat des gestionnaires de la banque centrale européenne et américaine dans cette crise comme dans celle du passé, ils baissent leurs taux d’intérêt. Baisser…, tendre vers le plus prés de zéro pour relancer l’économie, donner plus de confiance à l’épargnant et au marché boursier et faire en sorte que l’on puisse favoriser les crédits auprès des Banques.
Pour les Musulmans, convaincus et respectueux des principes Islamiques, aucun doute sur les biens faits de l’interdiction de l’intérêt usuraire car si Allah (swt) nous la rendu illicite c’est qu’Il connait mieux que qui conque l’intérêt suprême de ses créatures. Combien de crise similaire doit-on subir pour que l’on se rende compte de l’évidence qu’Allah nous a annoncée à mainte reprise dans le Coran. A quoi nous invite le modèle Islamique si ce n’est que mettre l’argent au service de l’homme et non pas l’homme au service de l’argent. La régulation et le cadre de fonctionnement du modèle Islamique permet à chacun de travailler dans un esprit d’entreprenariat en partageant les bénéfices et les risques. Cette disposition permet une prudence mesurée et intelligente qui évite l’effet boule de neige en cas de crise et de dérapage économique.
Incroyable mais vrai, la cupidité des rapaces financiers, qui n’ont rien à faire des conséquences de leurs actes sur la condition humaine, qui font souffler le chaud et le froid sur les places boursières, sont apprivoisées et corrigées grâce aux épargnes des contribuables via les Etats qui injectent à coup de milliards d’euros et de dollars pour stopper la dégringolade des indices boursiers dans les abysses. Les libéraux appellent à la rescousse des Etats qui nationalisent à tours de bras les banques en faillites et ce quelque soit la tendance politique au pouvoir. Il doit se sentir pousser des ailes Karl Max dans sa tombe.
Nous avons perdu le sens de l’effort, du travail et de la récompense à la sueur du front. Aujourd’hui nous avons un vrai marketing agressif pour pousser à toujours plus de crédit jusqu’ à contracter pour certain des crédits à la consommation. La débauche de l’ultra-capitalisme et du néolibéralisme doit nous interpeller et nous permettre une remise en question de notre choix de société et du modèle économique. Les fondements du modèle économique que propose l’Islam reposent avant tout sur la responsabilité de l’Homme devant Allah dans ses actions et ses engagements. Chaque Musulman doit garder à l’esprit et doit être conscient que le moindre centime qu’il gagne, investie ou place, il en aura à rendre des comptes à la fois sur ses intentions et les conséquences de ses actes. L’Islam encourage le développement économique et l’enrichissement des individus à condition que ce dernier respect une certaine éthique moral qui permet de ne lésé personne dans l’ascension sociale et matériel. La finalité du modèle économique Islamique permet de maintenir et de garder l’outil de gestion des flux financiers comme un simple outil permettant le transfert des biens et des richesses au service de la condition humaine.
La perversion de ce capitalisme dans laquelle nous nous trouvons prouve et assure au moins une chose c’est que l’Occident ou plutôt le modèle Occidentale à perdu sa crédibilité sur la scène internationale pour son modèle capitaliste. Il est temps que les économistes de tous bords et surtout les Musulmans fassent connaitre cette alternative que nous offrent les lois et les principes prodigués par le système Islamique. La finalité de l’homme en Islam c’est d’obtenir la Grâce, la satisfaction et la Miséricorde d’Allah dans cette vie. L’Economie ne doit être qu’un outil au service de cette finalité avec comme toile de fonds la recherche de son bien être et de son développement.
Aujourd’hui on crée le vide dans la populace pour créer une addiction à la consommation. Cette mécanique économique basé sur l’étude comportementale et sociétale incite et pousse les individus à la surconsommation. Regarder la folie des grandes surfaces sur un produit donné, la diversité incroyable que l’on nous propose? Ah ils ont pensé à tout pour vous inciter à la consommation absurde et idiote, le produit selon le genre, la catégorie sociale, la saison, la mode….
Nous avons le privilège dans l’Islam d’être conscient des dangers de jouer avec les limites qu’Allah nous a définis dans le Coran et des conséquences que cela peut engendrer. L’Islam exige des valeurs morals et éthiques dans les mécanismes de l’économie et du développement social.
Un signe du changement de mentalité est l’interpellation du journaliste économiste Beaufils Vincent directeur de la rédaction du très sérieux magazine Challenges qui interpelle de la sorte « … au moment où nous traversons une crise financière qui balaie tous les indices de croissance sur son passage, c'est plutôt le Coran qu'il faut relire que les textes pontificaux. Car si nos banquiers, avides de rentabilité sur fonds propres, avaient respecté un tant soit peu la charia, nous n'en serions pas là. Il ne faut pourtant pas voir la finance islamique comme un exercice de troc moyenâgeux, car les pays du Golfe nous ont montré combien leur mentalité entrepreneuriale savait épouser le XXIe siècle. Simplement, leurs banquiers ne transigent pas sur un principe sacré : l'argent ne doit pas produire de l'argent. La traduction de cet engagement est simple : tout crédit doit avoir en face un actif bien identifié. Interdits, les produits toxiques; oubliés, les ABS et CDO que personne n'est capable de comprendre. Autrement dit, l'argent ne peut être utilisé que pour financer l'économie réelle. Il n'y a donc pas de hasard : si les banques du Golfe sont sorties indemnes de la crise du subprime, c'est qu'elles n'y sont pas entrées. Le respect de ce principe du Coran est également fort utile dans la relation que chacun entretient avec l'argent, qu'il s'agisse des entreprises ou des particuliers : les personnes morales n'ont ainsi pas le droit de s'endetter au-delà de leur capitalisation boursière; quant aux personnes physiques, elles ne peuvent de facto souffrir de surendettement. Voilà des règles qui ne peuvent pas nuire. Et même si elles reposent sur un texte qui date du VIIe siècle… » Source Edito 11/09/08 Le pape ou le Coran http://www.challenges.fr/.
Une remarque par rapport à cette vérité bienvenue de la part d’un expert qui honore la justesse et la vérité Coranique sur les directives qu’elle prodigue en matière économique à dimension sociale. Malheureusement tous les pays Musulmans sont loin du respect des principes la Charia Islamiques. Une partie des Musulmans et surtout la classe moyenne et bourgeoise ont cédé aux sirènes du capitalisme et à l’ultralibéralisme encourageant l’empreint avec intérêt usuraire en s’appuyant sur des fatwas qui sont minoritaires et de circonstance. Plutôt que de s’organiser et de développer à l’image des Musulmans en Angleterre qui ont réussit en deux générations à faire émerger des Banks Islamiques pour répondre à leur besoin tout en restant conforme à la Charia Islamique. En France et ailleurs ils se laissent tenter par la facilité sans en mesurer vraiment les conséquences ici bas et dans l’au-delà. Il faut s’avoir une chose, chaque crédit usuraire que nous contractons permet d’entretenir et d’encourager le modèle existant et retarde de ce fait l’émergence du modèle Islamique conforme à la Charia. Le courage, la volonté et la réussite des entrepreneurs Musulmans est telle que toutes les grandes Banques Nationales et Internationales ainsi que les Etats eux-mêmes engagent des études pour développer et proposer aux Musulmans de leur pays une alternative conforme à l’éthique Islamique. On évalue un marché potentiel de 700 Milliards d’euros. La sécurité offerte par le modèle Islamique est tel que même des sociétés non Islamique préfèrent et travaillent avec les Banques Musulmanes en Angleterre. Ce qui paraissait utopique et moyenâgeux pour certain il y a quelque temps devient plus que jamais réalité inévitable confirmé et réclamé par les plus avertis des rouages boursiers et des places financiers qui sont pour le profane abscons et amphigouriques.
R.A
Pour info et culture générale: Vincent Beaufils est directeur de la rédaction du magazine Challenges, un hebdomadaire d'information sur l'économie et les principaux débats de société. Diplômé d'HEC, Vincent Beaufils a débuté sa carrière de journaliste à L'Expansion, puis à L'Express, comme grand reporters. Il a également été successivement conseiller de la rédaction en chef du Nouvel Observateur, ancien rédacteur en chef du Nouvel Économiste, avant d'être nommé rédacteur en chef du mensuel L'Essentiel du management.