Ô douce nuit, une fois de plus, mon corps frêle te résiste,
Ses rêves éveillés le fatiguent, au-delà de sa citadelle,
A la fenêtre de mon cœur, mon esprit ranime la chandelle
De mes souvenirs animés, pénitence de l'esprit en piste,
Il m’essouffle dans les abysses par ces chemins en dentelle.
Fade et recoquillé le jour, mon âme vie sa solitude,
Sans prestance, à l’ode désenchantée par la muse,
Ma raison prend mon cœur par la main, face à l’évidence,
Le soleil couché, la clarté de la lune a éclairé l’horizon,
La raison de mon cœur, jadis possédé par une fleur envoûtante,
Découvre la beauté et la diversité des fleurs environnantes,
Chacune en réalité plus belle l'une que l'autre.
Ô Allah ! Comment te remercier pour la vue rendue,
A ce cœur éperdu si longtemps, tu m’as permis de lever le voile,
Sous le charme caché de ces cœurs sans parole, empreints de futilités.
Ô Allah comment vais-je te prouver ma gratitude sans faillir ?
Ses rêves éveillés le fatiguent, au-delà de sa citadelle,
A la fenêtre de mon cœur, mon esprit ranime la chandelle
De mes souvenirs animés, pénitence de l'esprit en piste,
Il m’essouffle dans les abysses par ces chemins en dentelle.
Mon cœur, dont l'amour fait sa proie,
Tel le lys, mon esprit s'épanouit la nuit, , Fade et recoquillé le jour, mon âme vie sa solitude,
Sans prestance, à l’ode désenchantée par la muse,
Ma raison prend mon cœur par la main, face à l’évidence,
Les perles de mes yeux scintillant en abondance
Rendent mon chagrin plus céleste de moitié,
Mais mon cœur, ce ressort de l’existence,
Meurtri par ce miroir de l’estime broyé sans pitié
Par la pierre de la souffrance et de l’insolence.
Sur le parvis de mon cœur, nichant naguère,
L’ardent rossignol a troublé mon âme légère.Le soleil couché, la clarté de la lune a éclairé l’horizon,
La raison de mon cœur, jadis possédé par une fleur envoûtante,
Découvre la beauté et la diversité des fleurs environnantes,
Chacune en réalité plus belle l'une que l'autre.
Nul doute les femmes sont les rivales des fleurs,
Mais leurs attraits sont aussi éphémères, tels les pleurs,
De celui qui ne trouva jamais dans leur possession,
Qu'amertume secrète et qu'agitation.Ô Allah ! Comment te remercier pour la vue rendue,
A ce cœur éperdu si longtemps, tu m’as permis de lever le voile,
Sous le charme caché de ces cœurs sans parole, empreints de futilités.
Ô Allah comment vais-je te prouver ma gratitude sans faillir ?
Rappelle cette âme, si de Ta grâce qu’elle implore, elle devait en être privée.
R.A