Ô tendre mélancolie
Tu es à ma porte
Viens me consoler
Les tourments sont là
Suis-je cette âme vivante
À la douceur secrète
Vois-tu mes pleurs
Ces rivières de laves
Consumant mon coeur
Loin de moi, vains plaisirs
Que le monde idolâtre
Ces rires insensés
Ces charmes folâtres.
R.A