Dans une délicatesse
Printanière,
Elle dévoila l’essence
Sublime,
Dans une paresse
Éphémère,
Elle embrassa la faiblesse
Boutonnière,
Dans un élan d’érotisme
Ô délice.
R.A
Dans une délicatesse
Printanière,
Elle dévoila l’essence
Sublime,
Dans une paresse
Éphémère,
Elle embrassa la faiblesse
Boutonnière,
Dans un élan d’érotisme
Ô délice.
R.A
Et puis un jour viendra le temps de la raison, le temps des cerises, celui des regrets de l’amertume et de la nostalgie, mais comme bien souvent, le présent n’aura plus aucune emprise sur le passé, le destin aura fait son chemin quel que soit la maturité du cœur.
R.A
Tu es parmi mes souvenirs, ceux qui s’imposent, qui frappent involontaires à la porte de mon cœur, ceux que l’on soupçonne plus mais dont le parfum ne vous quittent jamais.
Tu es là comme une rose dans le jardin secret de cœur. Je ne peux éviter la présence de ton absence. Tu es la p’rose du crépuscule, le vers de la nuit qui m’offre l’ivresse d’une romance sans fin.
R.A
R.A
Ô ma Muse,
Que serait le ciel sans toi?
Sûrement un vers sans lumière.
Que serait la terre sans toi?
Sûrement un jardin sans rose.
Que serait l’horizon sans toi?
Sûrement un couché sans soleil.
Que serait mon coeur sans toi ?
Sûrement une tombe sans fleur.
R.A
Je l’ai admiré,
sublime telle une œuvre d’art
baignant dans le soleil.
Je l’ai caressé,
exquise telle une muse de soie
s’offrant au désir de l’œil.
R.A