La burqa n’est certes pas une obligation religieuse mais une tradition qui traduit des mœurs ancestrales que l’on retrouve essentiellement en Afghanistan et dans quelques pays du Moyen Orient. Le problème réel n’est pas la burqa mais plutôt l’échec de la république dans son devoir d’intégration et de justice pour tous. Il faut certes combattre ceux qui pourraient imposer par la force la burqa aux femmes mais il faut combattre également avec la même vigueur ceux qui veulent interdire aux femmes qui en leur âme et conscience souhaitent porter la burqa en connaissance de cause. La réalité c’est que des femmes simplement voilées à la base, se voient interdire d’accès à notre chère égalité des chances et notre ascenseur social qui depuis bien longtemps est en panne d’idée et de volonté. Lorsque vous ne pouvez pas travailler, aller à l’école, vous impliquer dans la vie publique ou encore bénéficier des simples droits communs à chaque citoyen, il ne vous reste plus qu’à vous replier sur vous-même en tombant dans des extrêmes venant de tradition et coutumes bien lointaines.
La mécanique est bien rodée médiatiquement on crée le débat au tour de minorité infinitésimale et on met en avant des arabes de services et des musulmans de circonstances face à ceux que l’on souhaite stigmatiser et liquider de l’espace publique. L’objectif est de mettre sur pied une arène pour qu’ils s’entredéchirent et ainsi accentuer la fracture dans la communauté entre les pratiquants et les non pratiquants. A quoi vont-ils s’attaquer après l’interdiction du voile traditionnel qu’ils ont entériné ? Pour la burqa c’est bien parti pour l’interdire ! Et pourquoi pas tant que on y est car en France il faut le reconnaitre on est les champions des lois pour chaque circonstance ou faits divers; la longueur de la barbe des hommes musulmans, les djellabas, les anglaises des hommes juifs, le turban des sikhs… pourraient être interdit dans l’espace publique ?
Nos intellectuels et illustres politiciens faussaire de la laïcité s’indignent lorsqu’ils regardent la police des mœurs en Iran faire régner le respect des codes vestimentaires et la bonne tenue dans les espaces publiques. Que comptent-ils faire dans le cas de la burqa? Va-t-on créer la police des mœurs républicaines et laïques en emprisonnant les femmes qui refusent d’enlever la burqa ?, va-t-on créer des amendes pour tenue non conforme à notre Marianne?, supprimer les allocations familiales pour mère rebelle au principe de la tenue républicaine? Il est temps d’arrêter surtout les fondamentalistes intégristes partisans d’une définition de la laïcité univoque et sectaire qui exclue tout droit à la différence.
Cette énième agression et humiliation ne fait qu’en réalité exacerber les musulmans vivant en France mais également à l’étranger. Ces attaques à répétitions ne fait que dégoûter, au sein de la masse musulmane française, de la notion même de laïcité. Ce n’est pas dans le tout répressif que nous allons faire évoluer les mentalités de part et d’autre, mais bien dans le dialogue et le respect mutuel de la différence. En réalité la société française ne s’alimente sur certains sujets qu’à travers la grille de lecture de certain bien penseur qui eux portent pour l’occasion la burqa de l’ignorance et de l’intolérance au nom d’une certaine vision de la république et de la laïcité qu’ils souhaitent imposer à tout le monde. Il est urgent que nos hommes et femmes politiques et intellectuels sortent de l’hexagone pour sentir le droit à la liberté et à la différence dans des pays qui n’ont absolument rien à envier à notre système de démocratie et de liberté qui pratiquent une laïcité ouverte et respectueuse de l’essence même de la singularité.
Quand va t-on cesser de considérer les femmes musulmanes comme des attardées mentales ou soumisses pour la seule raison qu’elles ont décidé de porter le voile ou la burqa… en quoi ces femmes qui ne demandent rien à personne sont-elles nuisibles pour les valeurs de la République. Il est une constance en France dans cette république prix en otage par des fondamentalistes laïques qui trouvent régulièrement des boucs émissaires pour soit cacher une misère qui ne savent pas gérer, soit faire diversion pour attirer les projecteurs et les regards à des fins politiques. Notre heureux élu est un communiste qui s'est nourrit d’islamité lorsque ces derniers comptés en terme de bulletin. Pour se faire entendre et s’annoncer dans ses futures ambitions politiques de premier secrétaire national du parti communiste et mieux si affinité, rien de mieux que de s’attaquer encore une fois aux musulmans. Comme il est si bien écrit dans l’article « la burqa. Et burqa pas ? » Paru sur le site Al Kanz qui nous fait un rappel tellement juste : "Voilà donc qu’un maire communiste, André Gérin, surnommé à l’époque "l’imam rouge", car porté et maintenu à son poste de maire par le militantisme musulman lyonnais, veut libérer la France de l’obscurantisme à qui il doit beaucoup, sinon tout. Manger de la merguez à la fête de l’Huma ne nourrit plus son homme. Il faut bouffer du barbu et de la voilée. Sauf évidemment si “barbus” rime avec plus-value et “voilées” avec Champs-Elysées."
Notre pays manque cruellement de Respect et de Tolérance vis-à-vis de la différence d’autrui lorsque ce dernier n’appartient pas à la tradition judéo-chrétienne. En France on aime chanter à tue-tête, à l’intérieur comme à l’extérieur de nos frontières, des mots qui résonnent purement en terme théorique et générique, tels que ; Liberté, Egalité, Fraternité comme devise d’une République qui se veut chantre de l’exemplarité universaliste dans son modèle de justice et de sensibilité humaniste. Malheureusement il est bien loin, le temps où des hommes comme Voltaire qui disait : « Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'au bout pour que vous puissiez le dire. »
La mécanique est bien rodée médiatiquement on crée le débat au tour de minorité infinitésimale et on met en avant des arabes de services et des musulmans de circonstances face à ceux que l’on souhaite stigmatiser et liquider de l’espace publique. L’objectif est de mettre sur pied une arène pour qu’ils s’entredéchirent et ainsi accentuer la fracture dans la communauté entre les pratiquants et les non pratiquants. A quoi vont-ils s’attaquer après l’interdiction du voile traditionnel qu’ils ont entériné ? Pour la burqa c’est bien parti pour l’interdire ! Et pourquoi pas tant que on y est car en France il faut le reconnaitre on est les champions des lois pour chaque circonstance ou faits divers; la longueur de la barbe des hommes musulmans, les djellabas, les anglaises des hommes juifs, le turban des sikhs… pourraient être interdit dans l’espace publique ?
Nos intellectuels et illustres politiciens faussaire de la laïcité s’indignent lorsqu’ils regardent la police des mœurs en Iran faire régner le respect des codes vestimentaires et la bonne tenue dans les espaces publiques. Que comptent-ils faire dans le cas de la burqa? Va-t-on créer la police des mœurs républicaines et laïques en emprisonnant les femmes qui refusent d’enlever la burqa ?, va-t-on créer des amendes pour tenue non conforme à notre Marianne?, supprimer les allocations familiales pour mère rebelle au principe de la tenue républicaine? Il est temps d’arrêter surtout les fondamentalistes intégristes partisans d’une définition de la laïcité univoque et sectaire qui exclue tout droit à la différence.
Cette énième agression et humiliation ne fait qu’en réalité exacerber les musulmans vivant en France mais également à l’étranger. Ces attaques à répétitions ne fait que dégoûter, au sein de la masse musulmane française, de la notion même de laïcité. Ce n’est pas dans le tout répressif que nous allons faire évoluer les mentalités de part et d’autre, mais bien dans le dialogue et le respect mutuel de la différence. En réalité la société française ne s’alimente sur certains sujets qu’à travers la grille de lecture de certain bien penseur qui eux portent pour l’occasion la burqa de l’ignorance et de l’intolérance au nom d’une certaine vision de la république et de la laïcité qu’ils souhaitent imposer à tout le monde. Il est urgent que nos hommes et femmes politiques et intellectuels sortent de l’hexagone pour sentir le droit à la liberté et à la différence dans des pays qui n’ont absolument rien à envier à notre système de démocratie et de liberté qui pratiquent une laïcité ouverte et respectueuse de l’essence même de la singularité.
Quand va t-on cesser de considérer les femmes musulmanes comme des attardées mentales ou soumisses pour la seule raison qu’elles ont décidé de porter le voile ou la burqa… en quoi ces femmes qui ne demandent rien à personne sont-elles nuisibles pour les valeurs de la République. Il est une constance en France dans cette république prix en otage par des fondamentalistes laïques qui trouvent régulièrement des boucs émissaires pour soit cacher une misère qui ne savent pas gérer, soit faire diversion pour attirer les projecteurs et les regards à des fins politiques. Notre heureux élu est un communiste qui s'est nourrit d’islamité lorsque ces derniers comptés en terme de bulletin. Pour se faire entendre et s’annoncer dans ses futures ambitions politiques de premier secrétaire national du parti communiste et mieux si affinité, rien de mieux que de s’attaquer encore une fois aux musulmans. Comme il est si bien écrit dans l’article « la burqa. Et burqa pas ? » Paru sur le site Al Kanz qui nous fait un rappel tellement juste : "Voilà donc qu’un maire communiste, André Gérin, surnommé à l’époque "l’imam rouge", car porté et maintenu à son poste de maire par le militantisme musulman lyonnais, veut libérer la France de l’obscurantisme à qui il doit beaucoup, sinon tout. Manger de la merguez à la fête de l’Huma ne nourrit plus son homme. Il faut bouffer du barbu et de la voilée. Sauf évidemment si “barbus” rime avec plus-value et “voilées” avec Champs-Elysées."
Notre pays manque cruellement de Respect et de Tolérance vis-à-vis de la différence d’autrui lorsque ce dernier n’appartient pas à la tradition judéo-chrétienne. En France on aime chanter à tue-tête, à l’intérieur comme à l’extérieur de nos frontières, des mots qui résonnent purement en terme théorique et générique, tels que ; Liberté, Egalité, Fraternité comme devise d’une République qui se veut chantre de l’exemplarité universaliste dans son modèle de justice et de sensibilité humaniste. Malheureusement il est bien loin, le temps où des hommes comme Voltaire qui disait : « Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'au bout pour que vous puissiez le dire. »
Nous sommes aujourd’hui en France dans une forme de tolérance et de réprobation. On considère généralement qu'il n'y a pas de tolérance sans agression, c'est-à-dire qu'on ne peut être tolérant que face à ce qui nous dérange (c'est-à-dire ce avec quoi on n'est pas en accord) mais qu'on accepte par respect de l'individu (l'humanisme) ou pour la défense d'un idéal de liberté (le libéralisme). La tolérance par respect de l'individu pourrait se formuler comme:« Je ne suis pas d'accord avec toi, mais je te laisse faire par respect des différences. » Que se passe t-il en en France pour que l’inquisition au nom une laïcité univoque on souhaite rayer du paysage tout ce qui nous déplait aussi bien dans la forme que dans le fond. En panne de séduction et d’intégration voilà le vrai problème de notre république qui se fait siffler à la moindre occasion.
Il est une évidence que la France vie depuis une quinzaine d’année dans un ostracisme intellectuel du droit à la différence. La tolérance envers ce qui peut nous agresse visuellement, est un exercice à pratiquer sur soi-même. Albert Memmi disait ; « La tolérance est un exercice et une conquête sur soi. ». Et quand à Pauline Vaillancourt, elle affirme que « L'esprit de tolérance est l'art d'être heureux en compagnie des autres. » que dire face à de tels sagesses universalistes si ce n’est que nos politiciens manquent cruellement de sagesse et d’ouverture d’esprit.
John Locke disait: « cesser de combattre ce qu'on ne peut changer » en parlant de la tolérance. Il faut savoir que le changement ne peut venir que de l’intérieur et ne peut être imposé par la force ou la crainte. Ce débat peut être utile si et seulement si notre République a le courage de reconnaître ses échecs vis-à-vis de ces citoyens français qui ne font que vivre une mondialisation accélérée des importations et exportations des mœurs et des traditions différentes de celle qu’elle connaissait jusqu’là. La mode n’a pas de frontière et elle ne peut être du goût de tout le monde n’en déplaise à nos inquisiteurs de la liberté d’être et de paraître dans notre république.
Le respect suppose que l'on comprenne et partage les valeurs d'une personne qui agit sur nous. Par le respect, nous jugeons favorablement quelque chose ou quelqu'un ; en revanche, par la tolérance, nous essayons de supporter quelque chose ou quelqu'un indépendamment du jugement que nous lui portons : nous pouvons haïr ce que nous tolérons, accepter à contre cœur. La sensation de se sentir respectée ne peut que mener à notre épanouissement. Aujourd’hui à l’image de la main tendue de Barack Obama, de son discourt du Caire, de sa position sur le voile et sur l’Islam en général, la France doit s’interroger sur le sens de son devoir de pays promoteurs de la liberté et de la tolérance. Il est temps qu’elle respecte et aime ses enfants sans distinction de couleur, de race, de religion et d’apparence. Le respect s'adresse à des personnes physiques, or ces femmes sont des personnes physiques qui ont de ce fait droits à la liberté, à l’égalité et à la fraternité de la République.
R.A
Il est une évidence que la France vie depuis une quinzaine d’année dans un ostracisme intellectuel du droit à la différence. La tolérance envers ce qui peut nous agresse visuellement, est un exercice à pratiquer sur soi-même. Albert Memmi disait ; « La tolérance est un exercice et une conquête sur soi. ». Et quand à Pauline Vaillancourt, elle affirme que « L'esprit de tolérance est l'art d'être heureux en compagnie des autres. » que dire face à de tels sagesses universalistes si ce n’est que nos politiciens manquent cruellement de sagesse et d’ouverture d’esprit.
John Locke disait: « cesser de combattre ce qu'on ne peut changer » en parlant de la tolérance. Il faut savoir que le changement ne peut venir que de l’intérieur et ne peut être imposé par la force ou la crainte. Ce débat peut être utile si et seulement si notre République a le courage de reconnaître ses échecs vis-à-vis de ces citoyens français qui ne font que vivre une mondialisation accélérée des importations et exportations des mœurs et des traditions différentes de celle qu’elle connaissait jusqu’là. La mode n’a pas de frontière et elle ne peut être du goût de tout le monde n’en déplaise à nos inquisiteurs de la liberté d’être et de paraître dans notre république.
Le respect suppose que l'on comprenne et partage les valeurs d'une personne qui agit sur nous. Par le respect, nous jugeons favorablement quelque chose ou quelqu'un ; en revanche, par la tolérance, nous essayons de supporter quelque chose ou quelqu'un indépendamment du jugement que nous lui portons : nous pouvons haïr ce que nous tolérons, accepter à contre cœur. La sensation de se sentir respectée ne peut que mener à notre épanouissement. Aujourd’hui à l’image de la main tendue de Barack Obama, de son discourt du Caire, de sa position sur le voile et sur l’Islam en général, la France doit s’interroger sur le sens de son devoir de pays promoteurs de la liberté et de la tolérance. Il est temps qu’elle respecte et aime ses enfants sans distinction de couleur, de race, de religion et d’apparence. Le respect s'adresse à des personnes physiques, or ces femmes sont des personnes physiques qui ont de ce fait droits à la liberté, à l’égalité et à la fraternité de la République.
R.A
9 commentaires:
Impossible de tolérer la burka dans une république pour deux raisons d'ordre public : un, on doit pouvoir à chaque moment reconnaître une personne, deux cette pratique antinaturelle discrimine les personnes qui ne l'appliquent pas, c'est une forme de racisme de se prétendre supérieures aux autres en jouant les prudes en public.
Dois-je vous dire merci pour votre intolérance et votre vision fermée de la notion même de liberté et de ce qui fait la république? Qui parle de supériorité ? C’est vous par votre intransigeance qui faite preuve d’orgueil. Je vous laisse avec vos définitions et votre haine a peine caché de tous ce qui ne rentre pas dans vos mœurs.
Bien à vous.
La coutume, pour les étrangers qui viennent dans un pays, est de respecter les moeurs du pays, sinon ils portent atteinte aux libertés publiques. Car la liberté s'arrête là où commence celle des autres. Et il se trouve que la loi, ici, veut, comme chez vous donc, qu'on n'a pas le droit de s'habiller n'importe comment. Ce sont nos lois et tous doivent les respecter.
Vous n'avez pas le droit d'imposer les vôtres.
Votre burka nous choque profondément, elle est illégale avant même la nouvelle loi parfaitement inutile.
Puissiez-vous rapporter cette leçon chez vous : ici, on ne tolère pas l'intolérable.
Il n'y a pas besoin de parler d'une supériorité qui consiste à nous imposer l'image d'un corps emprisonné. Nous l'avons assez subie, cette supériorité qui n'est d'ailleurs que le reflet de celle que vos adultes imposent à leur garçons mâles.
Il est en effet grossièrement évident que vos voiles ne sont que le reflet de la circoncision ; à gland dénudé, femme couverte, en signe de deuil de la précieuse paupière dont la perte rend le gland calleux et insensible, mais pas seulement le gland apparemment !
On comprends que vous émigriez ici où les voiles sont peut-être supportables, vu la chaleur qu'il fait là-bas.
Oui, donc, vous pouvez me remercier, et chaleureusement, de prendre la défense des libertés, contre ce qui symbolise l'étouffement et l'enfermement.
Cordialement,
Quel bel article!
Musulmane et fière de l'être, mieux vaut être vêtue ainsi que dénudé comme le sont les femmes de cette société.Le débat serait trop long pour exprimer mon ressenti à ce sujet.même si nous sommes exclues de cette société, pour rien je n'enlèverai mon jilbab.
Gloire et louanges à Allah qui nous sortira vainqueur là ou nous avons été incompris.
A mes chères sœurs, la plus belle chose pour une femme est de préserver sa pudeur, descendez sur vous vos hijab,et soyez fière de se quoi Allah nous a fait paraitre.
Salamaleikoum wa rhamatollah wa barakatu
les femmes qui veulent imposer leur burka sont-elles prêtes à aller jusqu'au bout de leurs idées comme dans les pays islamiques : pas d'éducation, pas de permis de conduire,
certainement pas puisque en France c'est tellement facile d'avoir des aides et de ne pas respecter les lois du pays
merci, merci pour ce point de vue. Le mien est un peu différent : je suis féministe depuis années 60, autrement dit je me sens comme agressée par ce "retour en arrière" de la liberté des femmes. Aussi notre culture demande qu'on voit l'expression du visage de l'autre quand on passe à côté ou échange ; elles garderaient comme une "supériorité" sur nous par notre nudité de visage qui laisse tout voir.
aussi : je cherchais dans mes souvenirs en Tunisie ou Maroc de n'en pas avoir vu, je viens de réaliser que finalement ces femmes restaient chez elles enfermées.
et : j'ai peur qu'elles y soient plus ou moins contraintes par influences ou par dégoût de voir des femmes nues sur les murs.
la burqa est de tradition Arabique non Maghrébine qui a plus l'influence de Rome autrement dit notre culture d'origine (la vierge)
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