L’horizon, calme
De l’esprit,
Se vit
Par l’âme.
Au loin, nul détail
Ciel sans portail,
Me voilà en paix
Délivré des faix.
Ici et là, idyllique
De la raison,
Du soi à la foi, unique
Vers de passion.
Laissez-moi, admirer
Le chant de la solitude,
Accueillir, le perler
Caressant la miséricorde.
Si je demeure
Éteint, sur la rive
De l’indifférence,
Rappelez, ma verve.
Quoi de plus sublime
lorsque le silence élime
Ce corps oscillant
Au rythme du Dhikr haletant …
R.A
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