Ô mon amour
Ne me crois pas dépassionné
À la vue de mon regard hagard
Ne me crois pas indifférent
À la vue de mon silence pesant
Au rendez-vous des adieux
Sur les lèvres du silence
Profonde est ma langueur
Je ressens déjà la douleur
Ce parfum de l’absence
Me voilà livré au cieux.
R.A
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