Dans une délicatesse
Printanière,
Elle dévoila l’essence
Sublime,
Dans une paresse
Éphémère,
Elle embrassa la faiblesse
Boutonnière,
Dans un élan d’érotisme
Ô délice.
R.A
Dans une délicatesse
Printanière,
Elle dévoila l’essence
Sublime,
Dans une paresse
Éphémère,
Elle embrassa la faiblesse
Boutonnière,
Dans un élan d’érotisme
Ô délice.
R.A
Et puis un jour viendra le temps de la raison, le temps des cerises, celui des regrets de l’amertume et de la nostalgie, mais comme bien souvent, le présent n’aura plus aucune emprise sur le passé, le destin aura fait son chemin quel que soit la maturité du cœur.
R.A
Tu es parmi mes souvenirs, ceux qui s’imposent, qui frappent involontaires à la porte de mon cœur, ceux que l’on soupçonne plus mais dont le parfum ne vous quittent jamais.
Tu es là comme une rose dans le jardin secret de cœur. Je ne peux éviter la présence de ton absence. Tu es la p’rose du crépuscule, le vers de la nuit qui m’offre l’ivresse d’une romance sans fin.
R.A
R.A
Ô ma Muse,
Que serait le ciel sans toi?
Sûrement un vers sans lumière.
Que serait la terre sans toi?
Sûrement un jardin sans rose.
Que serait l’horizon sans toi?
Sûrement un couché sans soleil.
Que serait mon coeur sans toi ?
Sûrement une tombe sans fleur.
R.A
Je l’ai admiré,
sublime telle une œuvre d’art
baignant dans le soleil.
Je l’ai caressé,
exquise telle une muse de soie
s’offrant au désir de l’œil.
R.A
Je t’écris mon belle amant, dans ce silence éloquent qui me ramène à toi.
Je t’écris cette missive pour briser le silence, te livrer la p’rose de mon coeur au mille vers brisés que je porte en moi.
Ici mon âme s’interroge sur l’honneur des hommes, sur ce que doit le jour à nuit ?
Que reste-t-il des feux ardents qui ont illuminé et réchauffé nos nuits et nos jours heureux ?
Que reste-t-il de notre jardin secret où nous avons cultivé le parfum de l’amour et les lendemains plein de rêves ?
Le sais-tu peut-être, je n’ai plus ma place dans ce monde sans toi.
Ici la rose sublime jadis à tes yeux se meurt malgré les apparences, malgré la réminiscence que lui offre chaque printemps remplis d’espoir désuet, malgré les colombes dans le ciel de mes prières.
Ici la voûte céleste se tapisse de perles polies par mes yeux abîmés du destin.
R.A
Ô Gaza,
Ton courage
A sublimé les étoiles
Dans les yeux de la résistance.
Ô Gaza,
Ton sacrifice
A honoré le sang des martyres
Dans le ciel éternel de la liberté.
Ô Gaza,
Ta solitude
A levé le voile des hypocrites
Dans les pays à l’indignation sélective.
Nul doute ô Gaza !
La colombe sera bientôt là
Le jasmin s’impatiente du printemps
Nul doute ô Gaza !
La rose d’Ispahan offrira le parfum
De la victoire aux partisans de la foi.
Ô Gaza
Le chant des martyres résonne
Du haut des minarets de la paix.
R.A
Parfois, je te regarde,
Les yeux embués,
Il pleut si souvent,
Dans mon cœur.
Parfois, je t’admire,
Les mains tremblantes,
Il gèle si souvent à tes pieds,
Le doute au cœur.
Souvent la solitude t’habite,
Et te rend majestueuse,
Au loin, dans ta robe
Perlée de nostalgie.
Je suis dans le brouillard
Sur le chemin du destin
Qui me mène là bas,
Au dernier automne,
Ici et là une partie de moi
Désire caresser ton écorce.
R.A
Je ne sais comment
exprimer mon désir
Devant la fontaine
Sublime incrusté
De la plus belle jade.
Je ne sais comment
soulager mon corps
Devant le charme
Que la lune envie
À la plus belle jade.
Ô ciel
est ce possible
une telle sensualité
est ce possible
une telle rose
taillée de jade ?
Me voilà de braise
devant cette perle
tombée du ciel
dans mon jardin
Fait de secret de jade.
R.A