Parfois, je te regarde,
Les yeux embués,
Il pleut si souvent,
Dans mon cœur.
Parfois, je t’admire,
Les mains tremblantes,
Il gèle si souvent à tes pieds,
Le doute au cœur.
Souvent la solitude t’habite,
Et te rend majestueuse,
Au loin, dans ta robe
Perlée de nostalgie.
Je suis dans le brouillard
Sur le chemin du destin
Qui me mène là bas,
Au dernier automne,
Ici et là une partie de moi
Désire caresser ton écorce.
R.A
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