Ô Layla,
J’ai encore, le goût de cette saveur volée sur tes lèvres, folie improbable d’un instant dérobé au destin.
Ô Layla,
Sais-tu que les sages m’ignorent,
Que la tradition me condamne,
Ils sont révoltés par tant de fougue,
Troublés par tant d’ivresse fait de vers pour toi.
R.A
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