Ô Layla,
J’ai embrassé le vent,
Je sais qu’il finira
Par caresser la douceur
De tes joues,
J’ai prié la nuit,
Je sais qu’elle enveloppera
Par son étreinte le sublime
De ton cœur,
J’ai lâché la colombe,
Je sais qu’elle finira
par te chanter mon amour
Près de ta demeure.
R.A
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