Sur les rives de la seine,
J'ai vogué à ciel ouvert dans un brillant musée,
J'ai vu de mes yeux, valant, son pesant d'or, mille pierres usées,
Je n'ai pu voir des âmes de valeur, rafraîchies à la chaleur humaine.
Sur les rives fleuries de Saint Louis,
J'ai admiré cet îlot, havre de paix, dans ce chaos inhumain,
Sur les rives fleuries de Saint Louis,
J'ai admiré cet îlot, havre de paix, dans ce chaos inhumain,
J'ai senti des êtres vides de sens, défaits par la vie, à l’air hautain.
Je n'ai pu voir des cœurs, à la générosité humaine, anoblis.
Sur le pont neuf ,
J'ai observé l'élégance ajustée des voûtes,
J'ai constaté aux abords tant de bohème, de chaleur sans abris,
Sur le pont neuf ,
J'ai observé l'élégance ajustée des voûtes,
J'ai constaté aux abords tant de bohème, de chaleur sans abris,
Je n'ai pu voir des esprits éclairés enclins à l'humain.
Sur le pont d'Alexandre-III ,
J'ai capté cette amitié, ces accolades, ces regards dorés,
J'ai feint, en bonne compagnie, des sourires de grâce laurés,
Sur le pont d'Alexandre-III ,
J'ai capté cette amitié, ces accolades, ces regards dorés,
J'ai feint, en bonne compagnie, des sourires de grâce laurés,
Je n'ai pu voir des êtres sensibles à la misère des méandres.
Sur le pont de notre Dame,
J'ai été très ému à la vue de la cathédrale Notre Dame,
J'ai cherché, de la foi, l'empreinte sur les visage, en vain,
Je n'ai pu voir des hommes à la piété débordante ni des sacristains.
Au demi tour sur la Seine,
J'ai été ému devant la Dame de Fer resplendissante de sa hauteur sublime,
J'ai imaginé mille romances, mille nuits, à l'étreinte de l'amour à la veine,
Je n'ai pu voir des consciences éveillées au monde, du malheur qui l'anime.
De l'amour à Paris, elle l'a fait sienne.
Sur le pont de notre Dame,
J'ai été très ému à la vue de la cathédrale Notre Dame,
J'ai cherché, de la foi, l'empreinte sur les visage, en vain,
Je n'ai pu voir des hommes à la piété débordante ni des sacristains.
Au demi tour sur la Seine,
J'ai été ému devant la Dame de Fer resplendissante de sa hauteur sublime,
J'ai imaginé mille romances, mille nuits, à l'étreinte de l'amour à la veine,
Je n'ai pu voir des consciences éveillées au monde, du malheur qui l'anime.
De l'amour à Paris, elle l'a fait sienne.
La saison du printemps ne durera pas, souris sans détour,
Les yeux se refermeront dans la grisaille de l'indifférence à la peine,
En ce jour si beau, si triste, je le suis au cœur de la Mecque de l'amour.
R.A
R.A
1 commentaire:
Chaque pierre à son histoire et Paris est la ville par excellence qui a vu défiler bien des générations et bien des amoureux. Mais comme tu as pu l'observer, nous sommes cette génération borgne,aux valeurs volontairement inversées, qui, sans cette attachement à la foi, perd son temps à satisfaire son égo et à rejeter les valeurs telles que l'altruisme... La charité,le bien, la foi ont été délaissés au profit d'une société capitaliste où seul le profit est maître.
Tu distingues le beau mais sait ne pas te faire berner par l'apparent.
Qu'Allah accorde à notre communauté l'oeil du coeur amin.
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