Je t'ai quémandé de grâce un regard,
Et tu m'as ignoré de tes yeux sublimes.
Et tu m'as ignoré de tes yeux sublimes.
Je t'ai quémandé de grâce un sourire,
Et ton visage d'ange est resté de marbre.
Et ton visage d'ange est resté de marbre.
Je t'ai quémandé de grâce un baiser,
Et tu m'as de tes lèvres roses blessé, planté de tes épines les maux : Pauvre mendiant !
Et tu m'as de tes lèvres roses blessé, planté de tes épines les maux : Pauvre mendiant !
Ô ma muse, sans un regard,
Ô ma dulcinée, sans un sourire,
Ô ma sultane, sans un baiser,
Comment aimer la vie ?
Comment cheminer dans le désert ?
Et à quelle source dois-je m'altérer si j'ai éternellement soif de toi ?
Et à quelle source dois-je m'altérer si j'ai éternellement soif de toi ?
R.A
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