Tu as encensé mes yeux de rossignol,
Me voilà amoureux de toi, ô Djahane !
Tu as exalté la musique de ma voix,
Me voilà éperdu de toi, ô Djahane !
Tu t'es enivré du printemps de mon corps,
Me voilà fleuri de toi, ô Djahane !
Puis, tu as piétiné mon cœur.
Me voilà sous terre loin de toi, ô Djahane !
R.A
1 commentaire:
Cette façon que tu as regarder le monde avec les yeux de Khayam donne un nouveau style à tes poèmes. Je crois que ce que tu écris, il l'a pensé et aurait pu l'écrire. Si on change la mise en forme ça donne deux sublimes quatrains :)
Djahane mourra et te rejoindra ô Omar sous cette terre qui te retiens.
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