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mardi 20 août 2019

Ô Poète errant



Lorsque le poète en pleure,
C'est une pluie de fleurs,
Qui tombe sur un cœur épris,
Honorant l'amour sans peur,

À travers les plaines, les prés fleuris
Le vent mystérieux chante le souvenir,
Au rythme des soupires, des rires,
Célébrant l'amour qui n'a de prix,

Telle l'âme enjouée d'un enfant,
À l'innocence triomphant,
Une douceur envahie la pensée,
Étreignant l'amour de toute beauté,

Pure, tel un rayon du matin,
Qui habille l'amante éplorée,
Le jour se lève comme enchanté
Magnifiant l'amour sans filins.

Ô souvenir !

R.A


1 commentaire:

Buthayna a dit…

Quelle bouleversante beauté manifestée dans les vers de ce poète errant...
En lui souhaitant de trouver demeure et refuge auprès de sa bien-aimée 🌷