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mercredi 4 novembre 2020

Sous la tente



Le vent du désert a caressé ma peau, 

à nu, j'ai senti sa chaleur telle une envie de fusion à fleur de peau. 


Nu-pieds, j'ai caressé le sable chaud de l’horizon,

des plaisirs aux milles grains. 


Tel un mirage des mille et une nuits,

l'appel du large aux portes de l'océan invite au plaisir des vents torrides. 


Sirène des sables,

je suis ce fantasme de tout être au cœur de l'intime désir de liberté. 


De prestance affable, 

elle hume la poésie de la vie sous le turban distinguée par sa stature de reine sublimée ...


R.A

2 commentaires:

Esmeralda a dit…

Que d'élan, que de sens en éveil, que de beauté

Et Pygmalion éperdu d'amour, si fort étreignit la statue que le marbre froid se fit chair rosée, frémissante et vive sous ses mains de poète...

LayLa a dit…

Ô Majnun,
Sous une tente, en secret
Layla accomplira la promesse tant désirée...
Tout ce qu'elle vous a dit est vrai,
L’amour habite son cœur brisé...

Ô Majnun,
Dans l’obscure clarté d’une nuit étoilée,
Layla vous révélera enfin sa passion prohibée...
Elle s’offrira à vous un instant d’éternité,
Et donnera toute son âme dénudée...

Ô Majnun,
Est-ce fantasmes, Ou bien rêves inespérés ?
N’est-il pas temps que les amants soient enfin unifiés...