Tu es la toile d’un rêve,
Ce bijou au blanc d’ambre,
Tel un cristal fait de verre,
Incrusté d’opales de vert,
Que ma p’rose vive célèbre,
En rimes au parfum de vers,
Magnifié du verbe de Molière,
Malgré mes défauts de verve,
Tout le charme de ton ère,
De bohème que je désire,
Se sublime telle une mer,
Apaisée que la lune éclaire,
Par une caresse à l’ombre,
Sur le rivage du désert,
Que l’âme errante admire,
À la folie du destin d’un soir.
R.A
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