Va ma colombe
Le destin a tranché
Voilà que je flambe
Le cœur condamné
Chante mes fêlures
Au vent des maux
À la folie de l’écrin
À l’océan du chagrin
Dis au poète en pâture
Sur le champ de la p’rose
Que la saison de l’ivresse
Se veut crépusculaire
Pour la rose solaire.
R.A
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