Mon encre
me fait défaut
ici encore
Ma plume
Se fait fardeau
Tel un malheur
Quel est donc se labeur
Imposé par le cœur
Quelle est donc cette langueur
Infligé à l’âme en sueur
Quel est donc cette torpeur
Où se confond printemps et hiver
Ô poète errant
L’esthète est mourant ...
R.A
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