Il y a tant de maux
En si peu de temps.
Le désir est à l’eau
Du vers à la p’rose
L’âme du filament
Se consume de braise.
Au chevet de mes pensées
Mon coeur réclame le silence
Comme pour fondre, à l’aimer
Avec recueillement, une grâce
À la lettre effeuillée à l’orée.
R.À
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