Ô poète errant,
J’ai admiré le ciel de mes souvenirs,
Ce lit de coton que je regarde partir,
Au gré du vent emportant mes soupirs,
Là où le silence se meure de languir,
Ces instants au mille et un plaisirs,
Que le présent jadis insouciant à l’avenir,
Offrît sans compter son miel à loisir,
Pour ce coeur aimant la vie à désir,
Mais que faire du destin invitant à périr,
Ces saisons vous quittant sans sourire,
Où le parfum de l’amour finit par rancir,
Laissant les amants et leurs âmes flétrir.
R.A
1 commentaire:
Cher poète errant,
L’amour véritable est une rose parfumée qui ne périt jamais 🌹
Enregistrer un commentaire