Nous voilà au printemps,
Le temps des amours,
Sans Rossignol, sans détour,
Sans parfum, sans rose,
Si ce n’est les larmes du oud,
À la fenêtre sans temps,
D’un monde sans nous,
D’une vie loin du coeur,
À une cellule pour autant,
Éclairée de ce rayon fragile,
Chatoyant l’espoir de la vie,
En retraite pour la survie,
Telle Grâce divine, un Rappel,
De l’essentiel à porté d’âme,
À l’invitation pour une Foi ...
Du confinement à l’horizon,
D’un intérieur sans cloison,
Admire la liberté, l’infinie grandeur,
D’Allah avec les yeux du coeur,
L’esprit de la raison, à toute heure ...
R.A
2 commentaires:
Super , j’ai été émue par ton Plume MashAllah
Certes, Allah est le plus grand ...
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