Depuis toi je ne suis moi,
Ma solitude s'est éteinte,
À la lueur de braise à soi,
Que ta grâce à peinte,
À l’aurore vermeille,
De ce tableau à l’éveil,
Mon corps a l'odeur,
De l’amour du bonheur...
Mon cœur à l'étreinte,
Du printemps à l’empreinte,
Dans ma poitrine fleurie
De ton parfum à l’euphorie.
De toute ma hauteur,
L’espoir est à l’heure,
De générosité enceinte,
Mon esprit clame la fée verte…
Tu
es muse au clair,
Pour
une once de flair,
Fleurissant
dans l'air,
Un
effluve de chair.
Au
désire de subir la boësse,
Par
tes mains sur mon corps,
De
ton art, sublime, poétesse
Au mille nuits de perle et d'or ...
Que
les pinceaux de tes désires,
Inondent
de couleur le champ,
De
nos fantasmes refoulés,
Sans
tabou vers la sensualité,
Qu’exprime
avec talent,
Ces
peintres, à l'émotion, du Tertre,
Qui honorent,
la délicatesse, à Montmartre,
Ce plaisir unique saillant.
R.A
3 commentaires:
Un bouquet plein de nuances avec doit on le préciser un léger manque d’eclat pour que la gaieté apparaisse
Quand j'ai lu ce qu'était la boësse, je me suis dit "Il n'a pas froid aux yeux R.A" mdr. Pour le Tertre tu fais reférence à la butte de Montmartre ?
Bravo l'artiste, c'est très changeant par rapport au style habituel, tu sais jouer de ta plume/pinceau !
Très joli déclaration avec une juste expression du désir amoureux 🌹
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