Ô Layla,
J’ai suivi tes pas
dans le désert
de mon coeur,
J’ai embrassé
la poussière
de tes souvenirs,
Que dire
de tes empreintes
Que dire
de tes traces
Sur mon coeur
Dans mon âme
Dans mon esprit
Tu es l’étoile
Admirée
Tu es la lune
Sublimée
Tu es le soleil,
Caressé
De toi je rêve,
De toi je désire,
Le secret
Des amants.
R.A
2 commentaires:
Il y a sûrement une Layla dans ton cœur ou même ailleurs à laquelle sont adressés ces vers en cristal brisé... 😉
« Ah ! Te souffler ce que je porte en moi,
O toi mon repos, ô toi mon tourment !
Vienne le jour où ma langue saura
Mieux qu’une lettre expliquer savamment…
Ainsi, Dieu le sait, j’ai changé de vie :
Je suis en toi pour tout ce que je suis.
De tous les mets j’ai perdu la caresse
Et quant à boire, un supplice j’endure.
Vent de folie sur mes saintes lectures,
Toi qui justifies amour et jeunesse,
Tu es soleil, soleil évanoui,
Voilant à mes yeux sa fuyante image,
Et quand la lune éblouissante luit
Sur le troupeau servile des nuages,
Je vois en elle, unique, ton visage
Qui, par-delà ses voiles, resplendit. »
Al-Abbas Ibn Al-Ahnaf
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