Ô Mumtaz, à cette source tu as bu.
Tu es morte – et la source n'a pas tari.
Ô Mumtaz, à ce miel tu as goûté.
Tu es morte – et le miel est resté aussi doux.
Ô Mumtaz, sur ce rosier tu t'es penchée.
Tu es morte – et le rosier fleurit toujours.
Mais mon cœur, tu l'avais pris entre tes mains.
Tu es morte – et mon cœur repose dans sa tombe.
R.A
4 commentaires:
Le dernier vers est vraiment dans le style des poètes arabes, avec leurs thèmes de predilection : le drame de la fatalité,la séparation mais l'amour toujours immortel.
En bref, ta poésie est d'un autre âge, d'un autre temps. Et c'est là tout son charme.
C'est merveilleux! Quand il y a un amour passionant et FiLAH l'amour ne meurt jamais, rien ne meurt vraiment machaALLAH
This is her (Z-V)
Magnifique je suis obliger de partager ce talent sur ma page !!
Qu'Allah te protège:)
Ô Jahan,
Vivante, c’est ton amour fidèle qui faisait battre mon cœur...
Morte, c’est mon amour immortel qui essuie tes pleurs...
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