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lundi 19 octobre 2020

Les mots froissés

 


Ô Élif

Je n’ai plus de mots, 

Ton départ m’a froissé,

Mon coeur en fut écorché,


Ô Élif,

Je n’ai plus de rêve,

Ton silence m’a tué,

Mon âme en fut lacérée,


Ô Élif

Je n’ai plus d’encre,

Ton indifférence m’a asséché,

Mon esprit en fut assassiné,


Ô Élif

Je n’ai plus d’espoir, 

Mais ton souvenir me sourit, 

À jamais tu resteras ma p’rose ...


R.A

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Et je suis quoi moi pour toi ?

Celle qui me comprend.

Celui qui sait tout accepter, même mon silence et mes peurs.

Celle qui ne peut être dans ma vie, mais partage tout de même un brin de magie dans un écrin de pensée.

Celui qui saute sur mes mots, juste pour le plaisir d'en capturer un ou deux et se le foutre sur le cœur, comme un pansement qui ne panse rien, mais qui pense tout de même.

Celle auquel je n'ai pas besoin d'écrire, pour lui dire, car elle sait, elle sait tout.
Elle sait même ce que je n'ose m'avouer.

Celui que je n'aurais pas mais que je garde comme un secret.
Au monde entier.

Celle qui me touche sans poser ses mains.

Celui qui me parle sans voix.

Celle qui me fait sourire tant de fois.
Même sans envie.

Celui qui résonne.
Qui s'emboîte dans le meilleur de mon âme.

Je suis...
Tu es...
Nous sommes tant.
Et rien.
Et tout finalement.
Car tout ce qui compte c'est bien de ressentir.
De ne pas se sentir seul au monde.
De créer une connexion,
Peu importe où.
Pourvu qu'elle s'accroche à la vie,
Et qu'elle soit même plus forte que l'amour.

Cyrielle Soares

L’inconnu bis a dit…

Vilaine fifille