J’ai senti une chaleur,
Dans tes mots à coeur,
J’ai entendu une douceur,
Dans tes silences à fleur.
Derrière le voile du désir,
L’espoir fait de l’ivresse un élixir,
Mettant à nu les âmes jumelles,
Au-delà des murs de la citadelle.
Ô Layla,
Les étoiles parlent de nos rêves,
La lune attend notre étreinte,
Le vent désire notre fraîcheur,
La nuit espère notre amour.
Mais ton silence défie mes aurores,
Mon vide de toi en émotion, de douleur,
Embrase les souvenirs de ton parfum,
Dont ma p’rose de vers peint les vélums.
Ô Layla,
Écoute le ciel, murmure de mes lèvres en prière,
Regarde les stratus, remplis de chagrin en éclosion,
Embrasse la pluie, tu sentiras mes larmes en émoi,
Alors tu te souviendras que j’ai vécu en toi ...
R.A
3 commentaires:
Paix, bénédictions, santé, amour, partage, humilité, joie ...
Nous sommes le reflet de ce que nous ressentons en l’autre
Sortir de soi est un bienfait pour apprécier la vie
« Ne te plains pas d’être dans la solitude de l’absence apparente d’amour terrestre à tes côtés.
Si ça se trouve, un feu ardent t’unit à une personne physiquement lointaine, comme une fleur qui pousse dans ton cœur et ne fanera jamais. Et il se peut que cet amour qui ne dit pas son nom soit mille fois plus véridique et transcendant que celui vécu par des millions de gens réunis ensemble au quotidien...
L’énergie ignore l’espace et le temps, et le temps s’ignore et se nie lui-même.
Si tu as dans ton cœur l’amour brûlant d’un être sincère, alors sois reconnaissant, car tu es béni, et en vérité tu peux mourir tranquille, même si les baisers que tu offres à cet être ne seront toujours qu’un songe furtif dans le brouillard de tes soupirs.
Le langage silencieux des cœurs est tellement précis, une preuve par lui-même, que les amants dont les cœurs brûlent d’un amour d’essence divine, par Sa grâce et rien d’autre, n’ont pas besoin de se le dire. Ils savent. Et cela suffit.
Dieu réunit ceux qui s’aiment en Lui, par Lui et pour Lui. Peu importe la dimension dans laquelle cette union s’opère.
Celui auquel ce feu est envoyé, l’Univers lui appartient ! «
Julien Rainer
Ô Majnun,
Mon âme jumelle à jamais perdue,
Seule désormais je suis, avec cette passion défendue.
Des larmes silencieuses toutes les nuits répandues,
L’inconsolable chagrin ne semble pas entendu...
Ô Majnun,
Mon amour à moi pour toujours,
Mes appels désespérés sont restés sans retour.
Doutes-tu d’une Layla qui s’est offerte à toi sans atours,
Cette nuit d’été, défiant pour toi toutes les lois sans détour...
Ô Majnun,
Mon cœur à moi pour l’éternité,
Je n’ai pas cessé un instant de t’aimer,
La lune, les astres et les planètes peuvent en témoigner.
Chaque battement insuffle ton nom sacré dans mes pensées...
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