Ô Mumtaz, te voilà libre,
Libre de voler loin de ma douleur,
Libre de voyager loin de mon cœur,
Libre d'ignorer ce que je dois vivre,
Libre de voyager loin de mon cœur,
Libre d'ignorer ce que je dois vivre,
Je suis enchaîné à tes perles,
Au milieu des grains de sables,
Au pied des pyramides de secrets,
Mon coeur assoiffé n'ose se livrer,
Au pied des pyramides de secrets,
Mon coeur assoiffé n'ose se livrer,
Sur le désert habillé de filigrane,
Le règne de la tyrannie est là.
Tel un majestueux Aquila,
Ma bien-aimée, ma sultane,
Tel un majestueux Aquila,
Ma bien-aimée, ma sultane,
Là où mon regard se pose,
Sur les dunes de souvenirs,
Tu es l'oasis au mille sourires,
Offrant à mon âme sa rose,
Sur les dunes de souvenirs,
Tu es l'oasis au mille sourires,
Offrant à mon âme sa rose,
Ô Muntaz, te voilà libre,
Libre d'emporter mon havre,
Libre d'admirer mon œuvre,
Libre de refermer mon livre.
Libre d'emporter mon havre,
Libre d'admirer mon œuvre,
Libre de refermer mon livre.
R.A
6 commentaires:
Tes mots nous emporte.
Mach^Allah
c'est très beau , bravo!
Celui ci est vraiment mon énorme coup de cœur, certes il est moins développé que les autres mais encore plus puissant. Une réel histoire se ressent, de réelles passions et sentiments. Continue ainsi, la réussite ne peut que t’être destinée.
Je suis d'accord avec les commentaires précédents. Ce texte a une beauté qui nous interpelle tant il paraît vivant et réel. Il semble être la continuité de quelque chose, du Diwan peut-être. Le regrouper avec les précédents donnerait envie de l'acheter, penses-y.
Quelle douceur dans vos vers...
L'amour authentique accepte la liberté de l'autre et lui permet ainsi un total épanouissement
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